AOVIVAORHE MADAGASCAR

AOVIVAORHE MADAGASCAR

SECURITE ET INSECURITE !!!

SECURITE ET INSECURITE

Cher Tonton Georges je suis plutôt disciple de Abraham MASLOW, et je confirme la nécessité de la sécurité parmi les besoins fondamentaux des personnes ; si elle ne trouve pas sa place dans les besoins primaires, qui sont les besoins de se nourrir, se vêtir, se loger..... auxquels notre Etat faillit déjà, il a préféré la Sécurité de ceux qui sont au pouvir (sy ny FORONGONY ET LES FOZANY ou RAFOZANY...), afin de mieux couvrir tous leurs forfaits, traffics et autre magouilles... Ils sont près à embaucher des mercenaires grassement payés dans l'Armée pour ces besognes. Pendant ce temps, ceux qui n'ont pas eu la chance d'être "mercenaires" du pouvoir vendent leurs services ou louent leurs armes pour piller les biens et tuer leurs propriétaires  de façon à ce qu'il n'y ait pas de trace (lany tamingana) ; les voisins n'oseront jamais témoigner.

Plus la population est dans la misère, la famine, la pauvreté et l'insécurité, plus les gens du pouvoir seront tranquilles pour mener leurs affaires et faire perdurer leur règne en imposant n'importe quelle "feuille de chou", en mettant en place un Gouvernement-bidon, quitte à reporter un Premier Ministre qui n'a jamais été efficace et qui ose encore affirmer comme priorité " la sécurité aliùmentaire et la sécurité des gens" ; alors qu'il était là pendant 15 mois et la situation n'a jamais été aussi pire ; tout le monde peut rire (LoL !!) ; mais voilà la situation de Madagascar ;

Pire, on fait éclater une "bombinette" sur le passage du Chef des bandits (PHAT), tout le monde crie "INSECURITE" ; et on change le RSP (Responsable de la Sécurité Présidentielle) et on trouve tout de suite les "coupables" ; le même jour ou quelques jours après des personnes sont pillées et tuées ; on ne retrouvera jamais les coupables. Deux poids deux mesures, diriez-vous ! Peut-être : "Selon que vous soyez grands ou petits...."

Dans un Pays où la Sécurité est la condition première du développement économique, nous sommes devant un Gouvernement qui est vraiment inefficient ; un Gouvernement de "MERDE" !!! Et la France essaie d'armer ce pouvoir contre tout débordement de la population, dans l'intérêt de ses ressortissants ; ils ne savent pas qu'avec ce pouvoir ils ne rendent pas service ni à leurs ressortissants ni à leurs intérêts, à long terme ; ils font grossir la rancoeur du peuple Malgache contre la France et les Français ; je vous donne RENDEZ-VOUS à ce sujet très bientôt ; "Qui vivra verra !" , Et ce sera pire que dans les Pays du Maghreb ; je ne le souhaite pas pour mes amis Français ; car "LA COUPE EST BIEN PLEINE" et maintenant on va faire " BOIRE LA COUPE AUX MALGACHES JUSQU'A LA LIE" ; mais attention "A LA RETOURNE" et de réveiller "LE CROCODILE QUI DORT DANS CHAQUE MALGACHE", capable comme les Révolutionnaires Français de dire "DU PASSE (du fançais) FAISONS TABLE RASE" ; cela fait 15 mois également que j'ai lancé la mise en garde, alors que le PM VITAL venait d'être nommé et que j'étais sur place à Madagascar (voir "LETTRE AUX AUTORITES FRANCAISES" du 8 janvier 2010 ) : "LES ARMES FINIRONT PAR SE TAIRE ; ON NE PEUT PAS BAILLONNER INDEFINIMENT UN PEUPLE ; NOUS NOUS BATTRONS AU PRIX ET AU RISQUE DE NOTRE VIE";

PROFESSEUR Jacques RABEMAHARO (TOULOUSE)

vahoaka manjaka / tanora mitraka / tsy refesi-mandidy

démocratie / jeunesse / révolution

Les besoins secondaires (d’assurance, de sécurité, d’éducation, d’épargne, d’anticipation, de stockages et d’approvisionnements…) 


C’est le début de la marche vers le progrès et le développement « humain », objectifs ultimes.


L’insécurité est l’ennemi public numéro un qu’il faut combattre sans relâche en attaquant ses racines (fongorana, maty an-koranana). Elle puise à plusieurs sources : l’envie, la jalousie, les inégalités criantes, la solution de facilité, une certaine « tradition » dévoyée… L’insécurité n’encourage pas les initiatives économiques individuelles : cultures, élevage, artisanat, transports et toute entreprise qui risque de faire sortir quelqu’un du lot. Une personne qui réussit fait des envieux et non des émules ; c’est une mentalité rétrograde, alors que le « bien s’apprend », disait déjà une Souveraine malgache du 19è siècle (« Ny soa fianatsa », la Reine RASOHERINA) ce que tout le monde aime bien rappeler, sans l’appliquer vraiment ; il s’agit là d’une incohérence entre ce qu’on dit et ce qu’on fait. Quelqu’un qui fait de bonnes affaires se crée toujours des ennemis et non des émules : pourquoi lui réussit et pas moi ? Sans prendre conscience des efforts et des sacrifices que l’autre a faits pour réussir ; c’est la solution de facilité ; on confond la chance et le travail : le travail est la clé du succès, et non l’inverse. Le proverbe malgache le dit bien « c’est le travail qui favorise la chance ; et c’est la volonté qui pousse au travail » (« Ny zoto no arahan-jara ; ny sitra-po no enti-manana » ; ou « aide-toi et le ciel t’aidera ! »).


Dans certains villages et certaines villes, il ne faut jamais étaler en public la réalisation de bonnes affaires, au risque de se créer de gros soucis : braquages,



pillages, larcins, vols à la tire, vols en bandes organisées (tampim-baravarana et dahalo) ; dans les campagnes où il n’y a pas de banque, les petites économies familiales épargnées toute une vie parfois, peuvent disparaître en quelques heures, les autres biens avec et vous avez beaucoup de chance si on vous laisse la vie sauve. Même certaines cultures sur pied sont arrachées, juste la veille de la récolte : on récolte là où on n’a pas semé. Tout ce qui est élevage connaît le même sort. Dans de telles conditions comment entreprendre, comment faire progresser la production et l’économie.


Dans un pays où plus de 20 000 personnes composent les forces armées réunies (armées, gendarmes et polices), la priorité devrait être la sécurité intérieure ; sécurité des gens et de leurs biens ; sécurité de toute entreprise individuelle et collective. Les « vols de zébus » qui constituaient un sport national dans certaines régions et des tests pour les jeunes destinés à montrer leur force et leur vaillance avant de fonder un foyer (tribu « BARA »), ont été détournés petit à petit de leur objectif initial et deviennent un fléau économique national. Il est urgent de les « stopper net » (« Aok’izay », « halte-là »), sans aucun délai !


La lutte contre la corruption sous toutes ses formes, constitue une autre urgence : boîte d’allumettes, « tsolotra », « risoriso », contrôles routiers qui n’ont rien à voir avec la vérification des papiers, formalités administratives moyennant quelques « billets » et contreparties…A stopper sans attendre : une nouvelle ère va arriver (rivo-baovao/ ainga vaovao ; miova fenitra).


 

 

Les grandes et petites choses de la sécurité

vendredi 18 mars 2011, par Georges Rabehevitra

À chaque période de trouble de la vie politique, l’insécurité des biens et des personnes a toujours atteint une forme inquiétante, du point de vue quantitatif, mais aussi par l’extrême violence dont sont capables les bandits.

Il est de notoriété publique, et pas besoin pour le savoir d’avoir fait l’École de Gendarmerie de Fontainebleau, que les armes utilisées par les malfaiteurs sont issues de l’arsenal de l’Armée ou de la Police elle-même.

Pas besoin non plus d’être un fervent psychologue, ou un disciple de Maslow, pour savoir que la sécurité des biens et des personnes est le premier devoir d’un État envers sa population. Rien de bien ou de serein ne peut se faire quand on est en permanence menacé physiquement par des attaques qui peuvent arriver à tout moment et n’importe où. Je ne parle même pas de l’image catastrophique que cela entraîne pour le pays.

La sécurité des biens et des personnes n’a pas du tout été assurée pendant ces deux années de crise. Bien au contraire, l’insécurité est bien là et avec elle des dizaines de morts et de blessés. L’État a donc plus que failli dans son premier rôle. Les forces de sécurité sont bien plus mobilisées par la sécurité des gens du pouvoir (leurs personnes ou leurs affaires) que par celle de la population qui, par ces temps difficiles, en auraient bien plus besoin que les avantageux du Pouvoir.

Quand les forces de l’ordre ne sont pas mobilisées de la manière décrite ci-dessus, elles sont accaparées pour des choses que je trouve plus que futiles. Pour illustrer mes propos, je voudrais parler ici de deux anecdotes survenues récemment dans la Capitale.

US ou URSS 



18/03/2011
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